Comment trouver le bonheur au travail ?

Bonheur au travail

Le saviez-vous ? Seuls 8% des Français se disent être heureux d’aller travailler le matin. Comment cela se fait-il allez-vous me dire ? C’est sûrement parce que beaucoup d’entre nous n’avons pas choisi le métier de nos rêves. On a juste choisi ce qui était le moins pénible sur le moment. Mais sur le long terme, nous avons sûrement un projet qui nous tient à cœur et que nous aimerions entreprendre dès la retraite ou dès que nous aurons achevé des étapes phares de la vie comme l’obtention d’un certain diplôme ou d’un joli salaire.

Aujourd’hui il peut être difficile de savoir ce que l’on veut

Et si l’on vous donnait la recette du bonheur au travail ? Celle du job de rêve ? Diriez-vous non ? Ici on va vous donner le mode d’emploi au job de rêve parce que finalement, que serait la vie sans bonheur ?

Comment être heureux au travail ?

1 – C’est quoi le bonheur ?

Chacun possède sa définition du bonheur. Pour vous, ça peut être de pouvoir prendre un bon bain chaud après chaque journée de travail par exemple. Pour d’autres ça peut être de regarder un film avant d’aller se coucher tous les soirs. Le bonheur est subjectif. Il est donc difficile d’en donner une définition exacte. Ce qui est sûr est qu’on est tous à la poursuite du bonheur. On veut tous idéalement atteindre le niveau de satisfaction maximal dans notre vie professionnelle et personnelle.

Le vrai bonheur se caractérise par sa stabilité et sa durabilité. Donc il ne s’agit pas d’un moment de plaisir ponctuel, mais d’un état de satisfaction qui est toujours présent dans notre vie. Mais comment peut-on atteindre un tel niveau de satisfaction ?

2 – Le bonheur au travail doit commencer par se connaître

Pour pouvoir être heureux, et donc trouver son bonheur au travail, il faut pouvoir connaître ses besoins. Ceci demande alors du travail sur soi. Il s’agit de se demander : “qui suis-je ?” tous les jours. Avant chaque prise de décision, il faut se demander : “est-ce que ça me ressemble ? Est-ce que je reste moi en faisant ça ?”. Lorsque vous aurez les réponses à ses questions, vous aurez enfin conscience de ce dont vous avez besoin pour être heureux. Le défi est de rester soi-même dans toutes les circonstances. Pour ceci, on va vous expliquer les différentes versions de soi dont il faut avoir conscience.

Il existe trois “versions” de soi. La première est celle de soi seul. Il s’agit de votre zone de confort. Vous faites ce que vous voulez, où vous voulez, comment vous voulez. Vous êtes à l’abri des regards des autres. Le deuxième vous se trouve dans le milieu social. Ici, vous êtes exposé aux remarques des autres. Vous vous sentez donc moins à l’aise. Enfin la troisième version de vous se trouve en entreprise. Vous êtes donc à la fois dans un milieu social, mais aussi dans un milieu encadré par des codes de conduites à respecter.

L’existence de ces trois versions peut nous faire poser plein de questions : Comment rester soi-même quand on veut être accepté par la société ? Et au travail, comment fait-on pour être soi-même quand il y a tellement de règles à respecter ? Il y aura inévitablement des moments où vous serez en déséquilibre avec vous-même. L’enjeu est de pouvoir se rapprocher le plus vers cet équilibre – entre ce que vous voulez faire et ce que vous faites vraiment. Et ceci, nécessite de constamment se demander si on reste fidèle à nous-même dans toute prise de décision.

3 – Ça continue hors de sa zone de confort

Comment rester en équilibre avec soi-même le plus souvent possible ? Il faut sortir de sa zone de confort. Ceci nécessite de prendre des risques et de se mettre face au monde extérieur. En restant dans sa zone de confort, vous évitez tout risque et donc toute opportunité de progression. Certes vous ressentez moins de stress, mais ça ne durera pas longtemps. De plus sortir de sa zone de confort vous permet de vous renforcer face aux remarques extérieures et d’apprendre sur soi. Donc en sortant de votre confort vous apprenez mieux sur qui vous êtes, ainsi que sur comment vous adapter en fonction des milieux sociaux dans lesquels vous êtes.

La difficulté réside néanmoins dans le fait qu’il est dans la nature humaine de vouloir se comparer aux autres, voire plaire aux autres. Ainsi on se retrouve à se “cacher” et à altérer son identité devant les autres. Mais pour être heureux, il faut éviter la partie de cache-cache. Par exemple, il est possible que vous ayez choisi votre métier parce que la famille vous l’avait conseillé pour cause de bonne paie ou de bonne réputation. Mais en êtes-vous heureux ? Pas nécessairement. Le seul moyen de vous sortir de cette situation est de sortir de votre zone de confort. C’est-à-dire qu’il s’agit de considérer de changer de job, d’aller à l’encontre de l’avis de la famille, et d’enfin réaliser son rêve.

En sortant de votre zone de confort, vous pourrez atteindre ce dont vous rêvez. Et ce dont on rêve tous, c’est le bonheur – et ici on parlera plutôt du bonheur au travail. Plus vous allez loin de votre zone de confort, plus vous gagnez en confiance en vous, et moins vous aurez peur de la nouveauté. Vous verrez votre zone de confort agrandie. L’enjeu est de pouvoir être à l’aise d’être mal à l’aise.

Hors de la zone de confort il y a 3 autres zones :

  • La zone de peur : là où vous manquez de confiance en vous. Vous êtes facilement influencés par les opinions des autres.
  • La zone d’apprentissage : où vous gagnez de nouvelles capacités. C’est aussi là où vous agrandissez donc votre zone de confort.
  • La zone de grandeur : là où vous réalisez votre rêve et trouvez de nouveaux objectifs. C’est ici que le bonheur se trouve.

Quel est donc le rapport avec le job de rêve ?

La recette du bonheur au travail

Si l’on résume la première partie en quelques mots, le secret du bonheur c’est d’apprendre à se connaître pour identifier ses besoins en satisfaction. Ensuite afin de trouver ses besoins en satisfaction, il faut pouvoir aller hors de sa zone de confort. Ceci demande du courage et de la confiance, mais ce sont des choses qu’on acquiert en sortant de sa zone de confort. Donc pour trouver son bonheur, il faut aller hors de sa zone de confort.

Cela dit, le bonheur a un aspect personnel et professionnel. Ici on va plutôt parler de l’aspect professionnel. Une fois avoir pris connaissance de ses besoins, on arrive donc à la fameuse question : comment trouver son bonheur au travail ? Pour y répondre, on va s’appuyer sur la méthode de l’Ikigaï. C’est un terme japonais qui veut dire littéralement “qui mérite de” et “vivre”. Sa traduction renvoie à la raison d’être, la raison pour laquelle on se lève chaque matin. Le mot vient de la région d’Okinawa au Japon, car elle est connue pour ses habitants qui ont une espérance de vie élevée grâce à leur ikigaï. Au Japon, ce n’est qu’un simple terme utilisé dans la vie courante. Dans l’Occident, il a été emprunté pour développer une méthode de vie inspirée de celle des Japonais.

La méthode de l’Ikigaï nous aide à trouver son job de rêve et donc son bien-être professionnel. Elle est composée de 4 étapes à suivre – qui vous le verrez sont en lien avec la première partie de l’article. Cette méthode pourra d’ailleurs vous servir dans votre développement personnel professionnel qui viendra améliorer la qualité de vie au travail.

1 – Le bonheur au travail commence par ses passions

Pour trouver le job qui nous rendra heureux, il faut d’abord trouver ses passions ou ses centres d’intérêt. Ceci peut être aussi minime qu’être intéressé par la QVT, et donc vouloir travailler pour une entreprise engagée pour le bien-être de ses collaborateurs comme Fidensio la conciergerie digitale. Un métier qui contient une de vos passions ou centres d’intérêt sera moins pénible et vous risquerez moins de vous en lasser.

2 – Exploiter ses dons/qualités

Ensuite, il s’agit de travailler sur ses dons et qualités qui découlent des passions et centres d’intérêt. De la même manière que dans la première étape, il faut se centrer sur ses dons et les développer. Et étant donné que vos dons ou qualités viennent aussi de vos passions, il ne sera pas trop difficile de les développer. À partir du moment où l’on aime quelque chose, il sera facile d’approfondir le sujet jusqu’à en devenir un spécialiste.

3 – Trouver une utilité dans ses dons/qualités

Lorsque les habitants d’Okinawa avaient été interrogés sur pourquoi ils vivaient aussi longtemps, ils ont répondu que c’était parce qu’ils vivaient de leur passion et, parce qu’ils se sentaient utiles dans la société. Donc vous l’aurez compris, la troisième composante du bonheur est l’utilité extérieure de ses dons. Vous devez trouver un don qui puisse servir aux autres. Revenons à l’exemple de la conciergerie d’entreprise. Votre qualité d’altruisme, mise à l’épreuve chez Fidensio, peut vous donner un sentiment d’utilité car son service se veut d’aider les salariés français à avoir un meilleur équilibre de vie. On peut aussi parler du sentiment que les infirmiers peuvent avoir face à leur travail. Ce qui compte est de se sentir utile dans la société, peu importe à quelle échelle.

4 – Pouvoir gagner sa vie avec ses qualités

Enfin, il ne suffit pas d’exploiter ses dons. Il faut aussi y trouver une liberté économique. Ceci ne signifie pas nécessairement le salaire le plus élevé, mais le salaire qui vous permettra de vivre avec le strict minimum. Il est possible de trouver un bon salaire qui puisse vous offrir des petits plaisirs par-ci par-là, mais cela dépend des opportunités qui vous seront offertes et du secteur dans lequel vous voulez vous réorienter. En tout cas, pour être heureux dans son job, il faut pouvoir avoir un salaire qui satisfait les besoins minimums que vous avez. Sinon, il ne sera que question de temps avant que vous vous réorientiez vers un autre métier.

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